Bullez sous la douche !
Se laver sans décaper
C’est comme ça : certains l’aiment chaude et d’autres, glacée (surtout en été). Chacune a ses vertus et vous pouvez alterner ! En revanche, pas question de se louper sur le gel douche pour joindre l’utile à l’agréable sans décaper sa peau. Parce que la douche, on la prend pour le plaisir, certes, mais surtout pour l’hygiène. Et pour se débarrasser de la sueur, des salissures, de la pollution mais aussi du sel ou du chlore (si on a piqué une tête), il nous faut un produit lavant.
Douceur et simplicité
Plus facile à manier que le savon, plus doux que lui, le gel douche est « le » produit lavant par excellence… A condition de l’adapter à son âge et à son type de peau. En effet, les bébés ainsi que les personnes les plus jeunes ont une peau délicate. Idem pour les personnes souffrant de problèmes dermatologiques de type eczéma, psoriasis, acné…
Quoi qu’il en soit, la règle est la même pour tout le monde : on opte pour la douceur et la simplicité. Pour la douceur, on se tourne vers les produits ayant un PH proche de celui de la peau (autour de 5) surtout si on est sujet aux gratouillis. Et pour la simplicité, on jette un œil à la liste des ingrédients (plus elle est courte, mieux c’est). Et surtout, on se place en vigilance maximale pour scruter les étiquettes des produits et ne pas se laisser bercer par de belles promesses et des allégations douteuses.
Vigilance !
En effet, on ne succombe pas au premier « ingrédients naturels» ou « PH neutre » venus… On tire les choses au clair, soit en interrogeant son pharmacien sur la composition du produit, soit en dégainant une appli comme QuelCosmetic qui vous informe en un clin d’œil sur l’innocuité (ou la dangerosité) d’un produit. Quoi qu’il en soit, on bannit le paraben, évidemment, mais aussi le phenoxyethanol, la méthylisothiazolinone (MIT), le sodium lauryl sulfate… Attention, certains de ces composants sont interdits mais on les trouve encore dans certains produits (y compris pour les enfants) : méfiance !
A éviter aussi : les produits « 2 en 1 » voire « 3 en 1 », sauf pour un usage très occasionnel. En effet, notre visage, notre corps et nos cheveux n’ont pas les mêmes besoins ! A prendre en compte également : la protection de la planète ! Aujourd’hui, de nombreuses marques proposent des produits biodégradables.
Quoi pour qui ?
On l’a vu : l’objectif est de retrouver une peau saine tout en préservant le film hydrolipidique de la peau. Dans tous les cas, on oublie les savons au PH bien trop alcalin (il tourne autour de 10). Et si possible, on choisit un produit surgras (ce qui ne veut pas dire qu’on va graisser la peau mais seulement qu’on va lui éviter de se dessécher), un gel de préférence enrichi en huile végétale ou avec du beurre de karité. Pour les peaux particulièrement sensibles ou délicates, on conseille des produits dermatologiques hypoallergéniques (demandez conseil à votre pharmacien) ou un syndet. Ce « savon sans savon » est généralement enrichi de corps gras et de principes actifs anti-démangeaisons. Les peaux les plus sèches peuvent avoir intérêt à choisir une crème lavante ou une huile de douche, pour plus de confort.
Raison garder
OK quand il fait chaud, on voudrait passer son temps sous la douche… et pourtant ça n’est pas une bonne idée parce qu’à force, on esquinte sa peau. Alors on s’octroie un moment de fraicheur une à deux fois par jour et pas plus, on se lave avec les mains (le gant de toilette est un nid à bactéries) et si l’on aime la mousse, on choisit la fleur de douche qui permet d’émulsionner un max (mais on ne frotte pas son épiderme… on effleure !).
En toute confiance
Le + : les gels douche wellpharma ont tout bon : ils sont surgras et conviennent donc à toutes les peaux, mêmes les plus fragiles. De plus, ils ne contiennent aucune substance nocive et leurs flacons sont équipés d’un système de distribution économique et hygiénique. Made in France, ils conviennent à tous les âges, de 7 à 77 ans (voire au-delà !). Le seul hic : il existe plein de parfums 😉 Alors, que choisissez-vous : neutre, violette, bergamote, monoï ou thé vert ?