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Se soigner naturellement

En pleine forme… naturellement !

Comment vous soignez-vous ? Quand vous êtes patraque, filez-vous directement chez le médecin ou cherchez vous des remèdes par vous-même ? L’Observatoire wellpharma a posé ces questions à ces adhérents dans son enquête de janvier 2020[i]… et on vous dévoile tout, naturellement !

Médecin ou automédication ?

Face à la maladie, on n’a pas tous les mêmes réflexes. Quand ils sont patraques, les trois quarts de nos adhérents prennent les choses en mains, soit qu’ils décident de se rendre chez le médecin (29%), soit qu’ils préfèrent se soigner par eux-mêmes en ayant recours aux médecines alternatives (26% des répondants) ou à l’aide des médicaments trouvés dans leur armoire pharmacie (22%). Quoi qu’ils fassent quand survient la maladie, la grande majorité des adhérents, nos aînés en tête, font totalement confiance à leur médecin (95 % des répondants) et 88 % sont satisfaits de la médecine conventionnelle[ii].

Confiance en la science…

Même si la plupart des répondants témoignent de leur confiance dans la science et la médecine, 19% d’entre eux jugent leur consommation de médicaments trop importante. Et la très (très) grande majorité d’entre eux (94%) a une image favorable des médecines douces[iii]. 43 % d’entre eux ont d’ailleurs eu recours à une médecine alternative dans l’année écoulée avec une prédilection pour l’homéopathie qui emporte 66% des suffrages, devant l’ostéopathie (47%) et l’aromathérapie (30%) et, pour plus de la moitié d’entre eux (56%), dès les premiers symptômes. On note que les femmes sont plus enclines à se soigner avec les produits naturels que les hommes.

… et attrait pour les médecins douces

Nez qui coule ? Gorge qui gratte ? Petite toux ? Aux premiers signes des petits maux de l’hiver, mais aussi pour faire booster leurs défenses immunitaires, résister au stress ou lutter contre les insomnies, les adeptes des médecines douces cherchent sur internet un moyen de se soigner naturellement pour la moitié d’entre eux. Les autres préfèrent se rendre chez leur pharmacien pour prendre conseil et un tiers se plonge dans les livres ou les magazines. Résultat ? 80 % des personnes interrogées assurent que les symptômes ont disparu.

Découvrez l’Observatoire wellpharma et les résultats de cette enquête exclusive sur les médecines douces. Vous pouvez également découvrir la chaine Youtube dédiée à la communauté wellpharma.


[i] Enquête réalisée auprès des adhérents du club wellpharma du 3 au 9 janvier 2020 (1240 répondants)

[ii] La médecine « conventionnelle » s’appuie sur des traitements qui ont obtenu une validation scientifique, soit par des essais cliniques, soit parce qu’ils bénéficient d’un consensus professionnel fort obtenu avec l’accord et l’expérience de la majorité des professionnels de la discipline concernée. (Source : Ministère des solidarités et de la santé)

[iii] Parfois appelées « médecines alternatives », « médecines complémentaires », « médecines naturelles », ou encore « médecines douces », les pratiques de soins non conventionnelles sont diverses, tant par les techniques qu’elles emploient que par les fondements théoriques qu’elles invoquent. Leur point commun est qu’elles ne sont ni reconnues, au plan scientifique, par la médecine conventionnelle, ni enseignées au cours de la formation initiale des professionnels de santé. (Source : Ministère des solidarités et de la santé)

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